Personne ne sait ce qui se cache derrière cet objet mystérieux : une sphère métallique échouée sur une plage tient le Japon en haleine

Une grosse boule de métal échouée sur une plage japonaise laisse les autorités locales perplexes.

Selon les autorités, cette sphère creuse de 1,5 mètre de diamètre n’est pas explosive et pourrait simplement être une bouée.

Les personnes qui s’expriment à ce sujet sur Internet contestent cette explication. Ils font des allusions aux séries de mangas « Dragon Ball » et « Godzilla ».

Une mystérieuse boule de fer échouée sur une plage japonaise a laissé les autorités perplexes et les médias sociaux en émoi. La sphère métallique d’un diamètre d’environ un mètre est apparue récemment sur la plage d’Enshuhama dans la ville côtière de Hamamatsu, a rapporté la chaîne de télévision publique NHK.

Un passant a signalé la balle à la police samedi, ce qui a déclenché une action. Un habitant a déclaré à l’agence de presse que la balle se trouvait là depuis plus d’un mois. La plage a alors été fermée et des agents en tenue de protection ont été envoyés pour effectuer des contrôles.

Masaki Matsukawa, un représentant du bureau municipal des travaux publics, a déclaré à l’agence de presse que l’on ne savait toujours pas ce qu’était exactement l’objet rouillé. L’office suppose qu’il pourrait s’agir d’une bouée – une explication confirmée par les deux poignées métalliques qui semblent dépasser de l’objet. Après le tourbillon médiatique autour des ballons espions chinois, l’objet a toutefois déclenché une vague de spéculations sur les médias sociaux.

Certains ont supposé qu’il s’agissait d’un des globes de la célèbre série de manga Dragon Ball. D’autres ont affirmé qu’il s’agissait clairement d’un œuf de reptile qui se préparait à donner naissance à Godzilla.

Une équipe de démineurs a été envoyée sur place et a conclu, après un examen aux rayons X, qu’il n’y avait pas de risque d’explosion. La sphère doit être enlevée mercredi et conservée au cas où quelqu’un voudrait la récupérer, rapporte la NHK.

Cet article a été traduit de l’anglais par Melanie Gelo. Vous pouvez lire l’original ici.