Au bord du lac Wakatipu, en Nouvelle-Zélande, se trouve la Kinloch Wilderness Retreat.
La retraite dispose de deux petites maisons à louer avec une vue à couper le souffle sur les paysages bizarres de la Nouvelle-Zélande.
J’ai passé une nuit dans l’une des minuscules maisons – et c’était l’endroit le plus magique où j’ai jamais dormi.
La Nouvelle-Zélande est le pays des hobbits et des sorciers, du folklore, des fées et de la nature intacte. En juin, j’ai vécu de près la bizarrerie de ce pays.
Au cours de mon voyage de 11 jours à travers le pays, j’ai passé des nuits dans des hôtels cinq étoiles et dans de minuscules maisons. Mais l’endroit le plus magique où j’ai passé la nuit était une minuscule maison à l’extérieur de Queenstown, en Nouvelle-Zélande.
Cette minuscule maison fait partie de la Kinloch Wilderness Retreat. La propriété, située sur les rives du lac Wakatipu, dispose d’un café, d’un restaurant, de deux petites maisons, d’un lodge, d’une maison au bord du lac et de chambres simples pour les voyageurs.
Avec des hébergements de taille et de prix différents, j’ai réservé l’une des minuscules maisons pendant une offre spéciale hiver. Une nuit, petit déjeuner compris, coûtait 188 euros. Ils commencent normalement à 240 euros la nuit.
Pour se rendre à la Retreat, la plupart des voyageurs viennent de Queenstown, à environ une heure de route le long de la pittoresque route Glenorchy-Queenstown.
J’ai emprunté le même itinéraire et, alors que je me déplaçais sur la route sinueuse – coincée entre le lac Wakatipu et les montagnes qui s’élèvent – j’ai vu des vues spectaculaires. Je rêvais des vues que j’espérais voir depuis ma minuscule maison.
J’ai traversé Glenorchy jusqu’au petit village de Kinloch. Bientôt, la route asphaltée s’est transformée en gravier et un troupeau de moutons est apparu.
J’ai fini par m’approcher d’un ensemble de bâtiments. C’était ma maison pour la nuit, la Kinloch Wilderness Retreat.
Mais avant que quelqu’un ne me salue, j’ai été accueillie par les deux chiens des propriétaires.
J’ai suivi les chiens jusqu’au restaurant du domaine, où j’ai trouvé Toni Glover, l’une des deux propriétaires du domaine. Elle m’a souhaité la bienvenue à la retraite, m’a enregistré et m’a fait entrer dans ma minuscule maison.
Nous sommes allés du restaurant aux minuscules maisons et sommes passés devant un petit jardin où le dîner et le petit-déjeuner devaient être servis.
Nous sommes ensuite arrivés devant deux minuscules maisons. Toni m’a montré la première, qui était la mienne pour la nuit.
La première chose qui m’a frappé en entrant, c’est à quel point la minuscule maison était chaude au toucher, à l’œil et à l’odorat. Un système de contrôle de l’air la maintenait chauffée, et comme presque toutes les surfaces étaient recouvertes de bois teinté, la pièce dégageait une odeur de terre.
Ce texte a été traduit par Julia Poggensee, vous trouverez l’original ici.