Protection des données : le protecteur des données Brink dresse le bilan de la fin de son mandat

Protection des données
Le protecteur des données Brink dresse le bilan de la fin de son mandat

Stefan Brink, le plus haut responsable de la protection des données du Bade-Wurtemberg, a rejeté les critiques selon lesquelles la protection des données freinerait le progrès. « Celui qui ne fait que dire que la protection des données freine, court le risque de dissocier la numérisation des intérêts des citoyens », a-t-il déclaré au journal Schwäbische Zeitung (mardi). « Si par exemple la liberté des citoyens doit être sacrifiée au profit d’une plus grande sécurité, nous devons nous y opposer ». Selon lui, c’est un mauvais signal si son autorité est toujours placée dans un coin où elle n’a plus sa place depuis des décennies. « Nous nous considérons comme une autorité consultative. Nous ne voulons arrêter personne dans son élan, mais défendre les droits des citoyens », a-t-il encore déclaré au journal à l’occasion de la fin de son mandat.

Stefan Brink, le plus haut responsable de la protection des données du Bade-Wurtemberg, a rejeté les critiques selon lesquelles la protection des données freinerait le progrès. « Celui qui ne fait que dire que la protection des données freine, court le risque de dissocier la numérisation des intérêts des citoyens », a-t-il déclaré au journal Schwäbische Zeitung (mardi). « Si par exemple la liberté des citoyens doit être sacrifiée au profit d’une plus grande sécurité, nous devons nous y opposer ». Selon lui, c’est un mauvais signal si son autorité est toujours placée dans un coin où elle n’a plus sa place depuis des décennies. « Nous nous considérons comme une autorité consultative. Nous ne voulons arrêter personne dans son élan, mais défendre les droits des citoyens », a-t-il encore déclaré au journal à l’occasion de la fin de son mandat.

Le maire de Tübingen, Boris Palmer, a par exemple été stoppé lorsqu’il a collecté des données de citoyens étrangers et les a classés comme dangereux. Mais son administration, qui compte désormais 83 employés, ne peut travailler que de manière exemplaire.

Brink est considéré comme un critique souvent dérangeant de la politique du Land. Mi-juillet, il a annoncé qu’il quittait son poste de commissaire à la protection des données après six ans. Il avait alors souligné qu’il n’y avait pas eu de brouille avec le gouvernement du Land. Dernièrement, il avait présenté un projet de loi sur la transparence. Le but est de placer les informations dont dispose l’administration sur un portail et de les partager ainsi plus facilement que jusqu’à présent.