Plan Scholz : il devrait rester plus de la pension d’entreprise à l’avenir – Economie

Par

Thomas Öchsner

Au début, c’était une bonne idée. Le plus grand nombre possible d’employés devaient se prémunir davantage pour leur retraite par le biais de leur employeur. C’est pourquoi chaque employé a obtenu en 2002 le droit de prélever une partie de son salaire pour placer cet argent dans une caisse de pension ou une assurance directe, par exemple. L’effet secondaire est intéressant : le versement d’une future pension d’entreprise permet d’économiser des charges sociales et des impôts. Ce qui semble être une bonne affaire pour les salariés présente toutefois un grave inconvénient : lorsque la pension d’entreprise ou l’assurance directe est versée, la cotisation complète à l’assurance maladie obligatoire est due au-delà d’un seuil d’exonération. Des millions de retraités d’entreprise et d’assurés directs sont en colère depuis des années parce qu’il leur reste beaucoup moins qu’espéré de leur prévoyance vieillesse d’entreprise. Mais le chancelier Olaf Scholz (SPD) a promis de s’attaquer au problème.